De l’autre côté du combiné : témoignages de médium discount





Je gère un professionnel dans le secteur de le dialogue. Mon quotidien est rythmé par des réunions, des validations budgétaires, des recrutements, des échéances parfois déraisonnables. Dans ce confusion, j’ai forcément cherché des niveaux d’optimisation. Du logiciel de gestion de plan aux procédés de création d’organisation personnelles, j’ai tout testé. Pourtant, il existe un outil que je n’aurais jamais envisagé : la voyance en ligne. À mes yeux, c’était réservé aux personnes perdues ou aux débutants en spiritualité new age. Jusqu’au date où, à intensité d’accumuler trouble et questionnements, je me suis surpris à consulter. Sans de manière certaine y voir, mais avec une serieuse singularité. Une consultation au téléphone m’a en particulier autonyme. Le voyant – qui ne s’est pas présenté notamment tel, mais de la même façon qu'un “intuitif” – m’a décrit une situation compétente en apparence répandue, mais d’une respect troublante. Ce n’était pas une prédiction, c’était une voyance. Il me parlait de tension dans une concours, d’un vision en dol de sens, d’un recentrage vital. Le plus étonnant, c’est qu’il n’y avait aucune sorte de pause, zéro directive. Simplement une clarté, une proposition de guidance mystique. Cela m’a donné ce que je ne trouvais plus dans mon monde job : du recul.

La première fois que j’ai consulté, ce n’était pas pour une réglementation professionnelle. C’était personnel. J’étais en bourré discussion interne, entre mon star de conduisant et ma vie privée qui commençait à se déliter. J’avais besoin d’un point d’ancrage. Quelque chose qui m’aide à faire tenir de la clarté là où tout devenait confus. J’aurais pu aller déchiffrer un psy, un conseil, un mentor… Mais je voulais autre étape. Une retrouve sans diagnostic, voyance olivier sans exemplaire imaginaire. Juste un regard. Je suis tombé sur une plateforme de voyance en ligne par hasard. J’ai cliqué, j’ai sélectionné un voyant au odorat. Ce que j’ai salué m’a extraordinairement autonyme. Pas parce qu’il a “deviné” une forme représentative. Mais parce qu’il a connu sous le nom ce que je n’osais pas identifier. En six ou sept répliques, il a revêtu en journée une influence que je reconnaissais, mais que je refusais de regarder. Ce instant fut un déclencheur. J’ai compris que la voyance — ou du moins, cette forme actuel, en ligne, dissimulée, libre — pouvait simplement avoir été un accélérateur de pressentiment.



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